E. du Perron
aan
O.-J. Périer
Gistoux, 8 juli 1926
Mon cher Périer,
Votre billet me plaît, il est rempli de votre joie, sincère; et je vous félicite de tout coeur. J'espère vous retrouver plus tard; quand vous aurez retrouvé le loisir de n'être pas toujours, ou d'être moins sou-vent, mondain. J'aurais peut-être voulu vous parler du sujet qui vous intéresse, exclusivement, aujourd'hui, mais pardonnez-moi d'être trop peu qualifié. De là cette simple carte. Croyez pourtant que je partage tout-à-fait-selon-mes-moyens votre bonheur et recevez un cordial shake-hands de votre
EduP.
Gistoux, jeudi.