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Diderot komt in de papieren van de familie Van Hogendorp terug: Caroline zou hem in Holland zelf ontmoeten, bij de Gallitzins waar het dispuut begonnen was, maar de kans voor Willem om zich na het briefduel met de filosoof te verzoenen, zoals ongetwijfeld van man tot man met misschien één bon-mot gebeurd zou zijn, werd hem niet gegund: hij zat toen al in Indië. Caroline had haar beide zoons, Dirk en Gijsbert Karel, die door voorspraak van de prinses van Oranje op de kadettenschool in Berlijn mochten, zelf daarheen gebracht, was juist teruggekeerd van die reis. Na de financiële krach en het vertrek van haar man, na de scheiding van haar twee oudste zoons ook, vond zij, hoewel zelf in benarde omstandigheden, enige rust terug in haar taak zich geheel te wijden aan de opvoeding van haar vier jongste kinderen. Op 19 Juli 1773 schrijft zij aan haar man in Indië, uit Den Haag, na over haar eigen toestand en daarna over enige dameskennissen te hebben gerapporteerd:

Une Chose plus intéressante que tout cela, mon cher Ami, est la présence de Diderot qui est arrivé ici chez le Prince de Gallitzin pendant notre absence, et que je vois à présent journellement, il a 55 ans, une phisionomie agréable, mais enfin comme vous vous êtes vu souvent à Paris chez un Comte d'Olbag [sic], je crois qu'il est inutile de vous faire la description de son extérieur. Je lui trouve du rapport avec Mon Père pour la vivacité de la conversation, il est doux, honnête et humain, j'aime beaucoup à l'entendre parler, il vient quelque fois le matin passer une couple d'heures avec moi pleurer mes malheurs, je lui reviens beaucoup à ce que je sais par d'autres. Tous ces soirs je vais chez la Princesse où nous passons la soirée à nous quatre, et après avoir un peu causé, il nous lit l'une ou l'autre brochure de sa composition. Il part au commencement d'août pour la Russie, revient au mois de janvier ici pour un moment, alors il va arrenger ses affaires à Paris, et revient ensuite pour un long temps chez les Gallitzin, voilà ses projets présents, je ne sais comme quoi ils s'accompliront.
Il passe par Brunswyk pour faire la connoissance du Prince Héréditaire, qui est un Prince bien aimable pour tout le monde, mais surtout intéressant pour les gens de Lettres. Ensuite il s'arrêtera quelques jours à Berlin, il m'a promis de voir mes Enfans, de leur parler d'une façon énergique de leurs devoirs, et de l'espoir que nous avons en eux.

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Zonderlinge bijkomstigheid dat Diderot haar deed denken aan Onno Zwier van Haren, die uit zijn eenzaamheid in Wolvega nog steeds enige schaduw scheen te werpen op het gezin van de verloren dochter. Kurieus ook te bedenken dat Diderot de latere grote man van Holland, de toen 11-jarige nieuwbakken kadet Gijsbert Karel moest gaan toespreken en in deze geest. Hij schijnt echter zijn belofte niet te hebben gehouden, want 23 Nov. 1776, dus ruim drie jaar later, schrijft Gijsbert Karel aan zijn moeder:

Vous m'avcz parlé dans plusieurs lettres de Monsieur Diderot qui devoit passer par Berlin, et vous avoit promis de venir nous voir. Cependant je ne me souviens en aucune façon d'avoir vu Mr. Diderot ni même de l'avoir su à Berlin.